J’imagine ...

Aujourd'hui, je me suis reveille a 11 heure. Je ne pouvais pas aller a la session sur Auerbach. Mais, il me semble que je me suis finalment gueri.

Je suis en train de ecrire un resume pour ma presentation en mercredi. (C'est une contradiction! Une course en literature francais en mercredi, n'est ce pas? Mercredi est un jour pour un recess en France.)

A la derniere part de la essai, "Fors," Derrida emploit une type de language, qui est tres imaginaire et poetique. Je suis surpris par sa force. ("J'imagine ... le paléontologue immobile, tout à coup, en plein soleil, à son tour meduse devant l'arete d'un mot-chose, un instrument de pierre desaffecte, comme une tombe brulante au milieu de l'herbe, le double tranchant d'un biface) Il me semble que les savants academie en Amerique ne pouvait (pouvrait?) ecrire comme ca.

desolee pour ma pauvre francais. Il y a peut-etre beaucoup de erreur, mais je n'ai pas de temps assez pour consulter une dictionnaire, pas pour le relire...)